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Humanité et Biodiversité

avril 2024

Que sont ces 9 limites ou frontières (climat, biodiversité, eau...) à respecter pour maintenir l’habitabilité de la terre?
Les néonicotinoïdes, souvent en semences enrobées, sont des insecticides qui détruisent tout type d'insectes volants, les vers de terres et les oiseaux notamment directement où indirectement et par extension les humains. 1/4 des pesticides sont des néonicotinoïdes, 60% d'entre eux sont des semences enrobées systémiques et se retrouvent donc dans toute la plante et par la suite dans les sols, l'eau de surface, les nappes phréatiques et dans nos corps. On les utilise aussi sur nos animaux de compagnie contre les puces et les tiques et sur nos animaux d'élevage.

mars 2024

Alors que les protéines animales ne sont plus nécessaires à la nutrition d’une majorité d’humains, des centaines de millions animaux sont tués chaque jour pour être mangés. Le débat autour de l’alimentation carnée se focalise généralement sur le plan de l’éthique et de la morale, partant du constat que les animaux sont des êtres capables de ressentir la douleur, le plaisir et diverses émotions. Mais cette exploitation de masse constitue aussi un risque écologique majeur qui met en péril l’habitabilité de la planète et la survie de l’humanité.

octobre 2023

Hubert Reeves, l’un des scientifiques les plus populaires de son temps est mort à 91 ans. Canadien d’origine, il vivait en France à qui il avait fait aimer les étoiles dans de nombreuses émissions de vulgarisation. Astrophysicien, il était un fervent défenseur de la nature et tentait d’inviter les humains à mieux la protéger. Le conteur s’en est allé, reste son message d’éternel amoureux de l’Univers, dans toute sa complexité.

juin 2023

Dans un rapport inédit, un groupement de chercheurs a défini quels sont les points de non-retour pour la planète et l’Humanité.
Désormais 7 des 8 frontières qui garantissent à l'humanité de continuer à vivre dans un espace « sûr et juste » ont été franchies. Une nouvelle étude d'éminents chercheurs publiée dans la revue Nature sonne l'alerte.

mai 2023

Une équipe de quarante chercheurs a calculé et quantifié les limites de notre planète au-delà desquelles de graves dysfonctionnements sont à craindre. Et appelle à une « transformation sans délai » alors que toutes les limites « sûres » sont dépassées.

décembre 2022

Nous avons l'immense honneur de vous présenter notre premier reportage d'une série de plusieurs vidéos autour de l'Amazonie, ceci est un nouveau format et nous espérons beaucoup qu'il vous plaira autant que nous avons eu de plaisir de le développer. Cette vidéo aborde la situation en Amazonie à travers un résumé de la situation politique et de l'impact sur le vivant dont les peuples autochtones, gardiens et gardiennes de la forêt. Est-ce que l'occident qui importe énormément du Brésil peut participer à une économie respectueuse du vivant en soutenant le commerce équitable ?
La population humaine vit de plus en plus éloignée de la nature et de nombreuses interactions avec la nature sont en déclin à travers le monde. C’est ce que révèle une étude publiée dans la revue Frontiers in Ecology and the Environment par une équipe franco-allemande. L’étude met en évidence une distanciation grandissante entre nos lieux de vie et les espaces naturels et synthétise les connaissances actuelles sur l’évolution récente des interactions homme-nature. Les auteurs appellent à une meilleure considération individuelle et institutionnelle de l’importance de ces interactions dans la protection de la biodiversité.
La conférence des Nations unies sur la biodiversité réunit plus de 190 pays à Montréal jusqu’au 19 décembre. L’issue des négociations, qui portent sur une vingtaine d’objectifs destinés à sauvegarder les écosystèmes d’ici à 2030, est incertaine.
« Avec notre appétit sans limite pour une croissance économique incontrôlée et inégale, l’humanité est devenue une arme d’extinction massive », a déclaré le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), António Guterres, à l’ouverture de la COP15 pour la protection de la biodiversité.

octobre 2022

Une étude publiée en juin a analysé des échantillons provenant de 1 000 sites dans des cours d’eau de plus de 100 pays à la recherche de 60 principes actifs pharmaceutiques (PAP). Ses résultats suggèrent que, dans près de 40 % des sites testés à l’échelle mondiale, les concentrations d’au moins un PAP étaient supérieures aux niveaux ne représentant pas de danger pour la vie aquatique.
Le berceau de notre avenir, c'est la Terre, à maintenir en vie si nous souhaitons le rester nous-mêmes. C'est pourquoi nous lançons un appel à la mobilisation générale et au lancement d'un Plan Marshall de la biodiversité, innovant, offensif et ambitieux, pour préserver et restaurer la biodiversité et se donner les moyens politiques, scientifiques et économiques de s'en inspirer pour innover demain. « Biodiversité, capital et muse de notre avenir ».

septembre 2022

L’humanité est en train d’épuiser ses recours face au changement climatique, s’inquiète la primatologue britannique Jane Goodall, qui appelle du haut de ses 88 ans à combattre « la pensée à court terme » pour sortir de l’impasse environnementale.
Du haut de ses 88 ans, la primatologue britannique Jane Goodal lance un cri d'alerte.
"Fractures", monde "paralysé", besoin de "solidarité": les dirigeants qui se sont succédé mardi à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU ont mis en garde contre les divisions dangereuses d'un monde qui subit déjà un amoncellement de crises, de la guerre en Ukraine au réchauffement. "La crise du pouvoir d'achat se déchaîne, la confiance s'effrite, les inégalités explosent, notre planète brûle" et malgré tout, "nous sommes bloqués par un dysfonctionnement mondial colossal", a déploré le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres en ouvrant cette semaine de haut niveau de l'Assemblée générale, qui a repris en personne après deux années marquées par le Covid-19. "Ces crises menacent l'avenir même de l'humanité et le destin de la planète", a-t-il estimé. "Ne nous berçons pas d'illusion (...) Un hiver de grogne mondiale se profile à l'horizon."

juillet 2022

Le rapport de l’IPBES publié vendredi 8 juillet est à la biodiversité ce que le rapport du GIEC est au climat : un appel à l’action urgente. Fruit du travail de 85 scientifiques qui ont analysé 6 200 sources, le rapport de cette organisation dresse l’état des lieux des menaces qui pèsent sur la biodiversité dont dépend l’espèce humaine pour manger, se soigner, s’habiller… Il permet d’avoir une idée de l’ampleur des risques à ce jour pas vraiment quantifiés sur un plan économique et financier.

mai 2022

L’humanité se comporte comme un chauffard qui roule la nuit, feux éteints, au bord d’une falaise. Pour l’aider à identifier le danger – aigu – qu’elle encourt, une équipe scientifique pluridisciplinaire internationale a entrepris de lui procurer des phares afin de l’aider à se repérer et de l’inciter à lever le pied. Selon ses termes, il s’agit d’identifier les seuils à ne pas transgresser et les « frontières planétaires » à respecter pour maintenir l’humanité à distance de sécurité de ces seuils.

avril 2022

Dans ce troisième volet du 6e rapport d’évaluation dédié à l’atténuation du changement climatique, les experts du GIEC plaident pour une réduction immédiate des émissions dans tous les secteurs et proposent des solutions et actions pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5 °C... ou au moins à 2,0 degrés par rapport à l'ère préindustrielle (1850).

mars 2022

La dette d’extinction serait ce moment où les dégâts sont tels que rien ne peut arrêter la dégradation complète d’un milieu, d’une société, d’une civilisation. Selon lui, l’humain s’étant étendu sur l’ensemble de la planète et dominant toutes les parcelles de vie que la Terre peut offrir, nous arrivons à un trop-plein, notre espèce est trop dominante que pour continuer à exister de manière stable.

janvier 2022

Apparues il y a 440 millions d'années, les forêts sont des biotopes indispensables à la survie et au bien-être de l'humanité ; leur sort nous concerne tous et toutes. Or, les forêts - entendues comme des écosystèmes naturels et non pas comme des plantations industrialisées - sont de plus en plus menacées, partout dans le monde.

novembre 2021

Si le public prend conscience de l’importance vitale de ce qui se passe en matière de climat et de biodiversité, la perturbation des cycles de l’azote et du phosphore reste plus ou moins mystérieuse. D’où l’importance du livre « Les apprentis sorciers de l’azote — La face cachée des engrais azotés », de Claude Aubert.
La revue Ciel et Espace a sorti un numéro spécial consacré à Hubert Reeves, le président d'honneur d'Humanité et Biodiversité, en prologue à ses 90 ans. À cette occasion, diverses personnalités ont été invitées à choisir un passage d'un livre d'Hubert Reeves et à le commenter. Bernard Chevassus-au-Louis, le président de notre association et ami d'Hubert Reeves, a donc été mis à contribution. Découvrez l'extrait qu'il a choisi et son commentaire.

octobre 2021

Chef du peuple amazonien Huni Kui, le cacique Ninawa a consacré sa vie à défendre la forêt qui abrite ses aïeux depuis des millénaires. Il tire la sonnette d'alarme : en dépit des COP successives et autres sommets de la Terre durant les quatre dernières décennies, la déforestation de l’Amazonie n’a fait que s’accélérer. Et il assure que la disparition du "poumon de la planète" entrainerait avec elle celle "de la plupart des êtres humains".
Et si les humains perdaient volontairement (ou non) leur place au sommet de l’ordre mondial, au profit d’un gouvernement, d’un code moral universel ou même d’une intelligence artificielle super-intelligente ? C’est la vision connue sous le nom « d’hypothèse singleton ».

septembre 2021

Des forêts aux cheptels bovins, le vivant tend à être de plus en plus uniformisé, afin de maximiser la rentabilité à court terme. Or, en détruisant une biodiversité autrefois très riche, l’être humain menace la sécurité de son alimentation.
30 % de la population des koalas a disparu en quatre ans sur le territoire australien. « La créature la plus aimée de notre pays est en train de connaître un rapide déclin », s’alarme The Australia Koala Foundation, l’organisation australienne qui surveille les évolutions de populations chez les koalas.
Alors que se tient actuellement le sommet de la biodiversité à Marseille, la rédaction vous propose chaque jour un contenu sur cette thématique environnementale. Aujourd'hui, les participants alertent sur le rythme affolant d'effondrement des populations animales, voire de disparition des espèces.

juillet 2021

Les scientifiques mentionnent neuf limites planétaires au-delà desquelles nous ne pouvons pas pousser les systèmes terrestres sans mettre nos sociétés en danger : le changement climatique, la perte de biodiversité, l’acidification des océans, l’appauvrissement de la couche d’ozone, la pollution atmosphérique par les aérosols, l’utilisation d’eau douce, les flux biogéochimiques d’azote et de phosphore, le changement d’utilisation des sols, et le rejet de nouveaux produits chimiques. L’humanité vit déjà en dehors de l’espace de fonctionnement sûr pour au moins quatre des neuf limites

juin 2021

Ce que l’on appelle la nature a été modelé par l’activité humaine des douze derniers millénaires, montre une étude. Mais l’usage intensif des terres à cause de la colonisation, de l’industrialisation et la croissance démographique, a entraîné la destruction de la biodiversité, jusqu’alors largement préservée.
Depuis le début de la révolution industrielle, la relation de l'humanité avec la nature a été célébrée comme un triomphe. Grâce à l'innovation, nous illuminons les pays, construisons des industries et voyageons outre-mer à une vitesse sans précédent. Grâce aux progrès de l’agriculture, un nombre record de personnes sont nourries, et dans certaines régions du monde, l’espérance de vie a plus que doublé. De plus en plus, cependant, cela ressemble à une victoire à la Pyrrhus.

janvier 2021

décembre 2020

Les bouleversements majeurs auxquels nous assistons, sont en réalité à n'en plus douter, les prémisses du plus grand crime contre la biodiversité mais aussi de l'humanité. La question concernant notre société et son effondrement ne serait donc plus de savoir si celui-ci aura bel et bien lieu mais plutôt de savoir quand ? Et la réponse a cette question est tellement déconcertante qu'elle peut réellement vous bousculer. Sans perdre de temps car celui-ci nous est compté, découvrons si notre civilisation ne pourrait tout simplement pas s'effondrer ?

janvier 2020

Pour la première fois, cinq sujets environnementaux et climatiques trustent les cinq places des risques majeurs pour l’humanité et la planète du Global Risks Report. C’est en particulier l’inaction climatique, les évènements extrêmes et la perte de biodiversité qui inquiètent les décideurs mondiaux. Cette étude est réalisée chaque année à la veille du forum de Davos.
L’humanité mène « une guerre suicidaire » contre la nature qui réagit et « répond par des ouragans, des incendies et de graves sécheresses dans diverses régions du monde », a déclaré le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, lors de la cérémonie d’ouverture de « Lisbonne - Capitale verte européenne » qui s'est tenue samedi dans la capitale du Portugal.
conférence d'Aurélien Barrau à la Madeleine

novembre 2019

Avec les dramatiques incendies dans la forêt amazonienne en 2019 et 2020, l’idée d’internationaliser l’Amazonie, c’est-à-dire de la faire administrer collectivement par la communauté internationale, a été évoquée. Le fondement de cette revendication étant son importance écologique mondiale. Cette vaste forêt devrait-elle nous appartenir à tous, comme bien commun de l’humanité ? Il Retour en arrière historique

septembre 2019

juillet 2019

novembre 2018

Une étude publiée dans Nature Climate Change explore les effets combinés des aléas provoqués par le réchauffement climatique. Au total, les chercheurs ont dénombré pas moins de 467 menaces différentes.

juin 2018

L’humain a pris possession de la planète, et a déjà modifié les trois quarts de la surface terrestre. Devant cette progression, la plupart des animaux ont choisi la fuite: plus loin des villes ou des axes routiers, plus haut dans les montagnes, au plus profond des forêts. Mais ce déplacement spatial n’est ni toujours possible ni nécessairement suffisant. De nombreux mammifères ont donc trouvé une autre parade, ils ont adopté un mode de vie nocturne.

avril 2018

mars 2018

L’érosion continue de la vie sauvage met en danger les conditions de vie des populations, alertent les experts mondiaux de l’IPBES, le « GIEC de la biodiversité ».

novembre 2015